Bonjour,
Voici en quelques lignes la situation que nous rencontrons, à laquelle, si
vous
en avez la possibilité, nous aimerions avoir vos avis et conseils sur la
conduite à tenir.
Début 2007, je contractais un prêt relais permettant d'acquérir un pavillon
le temps de vendre l'appartement. Le montant du prêt relais représentait une
partie de l'apport (45 K€).
Après 1 an de prêt relais et une baisse du prix de l'immobilier, je suis
parvenu à obtenir une proposition. Il manquait 28 K€ entre le prêt restant
dû de l'appartement et le prêt relais. La conseillère de l'époque me
précisait qu'il n'y avait aucun soucis, les 28 K€ seraient repris par la
banque dans le prêt initial du pavillon.
Or, après la signature chez le notaire, la conseillère en question avait
été
mutée et la nouvelle nous précisait qu'il n'y avait aucune solution, que
nous
n'avions qu'à solliciter la concurrence.
malgré de nombreux échanges téléphoniques (helas j'aurais du penser à
l'écrit plutot qu'à la parole).
C'est alors que contrariés nous nous rapprochions d'une banque concurrente
(qui
appartient au même groupe que l'initial) qui acceptait de financer ces
28k€.
Après des courriers adressés à la direction de la banque initiale, le
responsable d'agence nous reprenait notre prêt de 28k€, sur une période de
7ans, à un taux de 8% (il est alors devenu un prêt perso).
Cependant, après 4 ans de remboursement nous rencontrions de grosses
difficultés, ayant une mensualité de 1500 €, représentant 50% de nos
revenus.
C'est alors qu'un directeur régional nous a reçu, nous proposant de reprendre
les prêts sur une durée de 25 ans, pour une mensualité de 1250 € (alors
qu'initialement nous avions un prêt de 900€ sur 30 ans et 500€ sur 7
ans).
Aujourd'hui nous avons décidé de vendre la maison afin de rembourser les deux
prêts. La banque, sollicitée, nous propose un geste : paiement des
intérêts
de remboursement anticipé à hauteur de deux tiers (soit 2000 € au lieu de
3000€).
Ces derniers temps, les agios, frais bancaires, .... représentent près de 100
€ / mois.
Pensez-vous qu'une procédure pourrait être envisageable pour défaut de
conseil ? certains d'entre vous ont-ils rencontré une situation similaire ?
Merci.
Voici en quelques lignes la situation que nous rencontrons, à laquelle, si
vous
en avez la possibilité, nous aimerions avoir vos avis et conseils sur la
conduite à tenir.
Début 2007, je contractais un prêt relais permettant d'acquérir un pavillon
le temps de vendre l'appartement. Le montant du prêt relais représentait une
partie de l'apport (45 K€).
Après 1 an de prêt relais et une baisse du prix de l'immobilier, je suis
parvenu à obtenir une proposition. Il manquait 28 K€ entre le prêt restant
dû de l'appartement et le prêt relais. La conseillère de l'époque me
précisait qu'il n'y avait aucun soucis, les 28 K€ seraient repris par la
banque dans le prêt initial du pavillon.
Or, après la signature chez le notaire, la conseillère en question avait
été
mutée et la nouvelle nous précisait qu'il n'y avait aucune solution, que
nous
n'avions qu'à solliciter la concurrence.
malgré de nombreux échanges téléphoniques (helas j'aurais du penser à
l'écrit plutot qu'à la parole).
C'est alors que contrariés nous nous rapprochions d'une banque concurrente
(qui
appartient au même groupe que l'initial) qui acceptait de financer ces
28k€.
Après des courriers adressés à la direction de la banque initiale, le
responsable d'agence nous reprenait notre prêt de 28k€, sur une période de
7ans, à un taux de 8% (il est alors devenu un prêt perso).
Cependant, après 4 ans de remboursement nous rencontrions de grosses
difficultés, ayant une mensualité de 1500 €, représentant 50% de nos
revenus.
C'est alors qu'un directeur régional nous a reçu, nous proposant de reprendre
les prêts sur une durée de 25 ans, pour une mensualité de 1250 € (alors
qu'initialement nous avions un prêt de 900€ sur 30 ans et 500€ sur 7
ans).
Aujourd'hui nous avons décidé de vendre la maison afin de rembourser les deux
prêts. La banque, sollicitée, nous propose un geste : paiement des
intérêts
de remboursement anticipé à hauteur de deux tiers (soit 2000 € au lieu de
3000€).
Ces derniers temps, les agios, frais bancaires, .... représentent près de 100
€ / mois.
Pensez-vous qu'une procédure pourrait être envisageable pour défaut de
conseil ? certains d'entre vous ont-ils rencontré une situation similaire ?
Merci.